Pôle Technique

Délégué Technique de Géoazur : Alexandre DANO

Le Pôle Technique de Géoazur est composé des trois structures suivantes :

Service d'Observations

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Le Service d’Observations de l’unité Géoazur collecte et distribue des observations à terre, en mer, et dans l’espace proche en lien avec différents Services Nationaux d’Observation, les Infrastructures de Recherche nationales et européennes et les projets de recherche des équipes du laboratoire. Il est composé de cinq Observatoires.

Pôle Innovations Technologiques

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Responsables du Pôle Innovations Technologiques : Duy-Ha PHUNG et Sébastien BONNIEUX

La mission du pôle Innovations Technologiques est de produire de l’innovation instrumentale pour répondre aux questionnements scientifiques de la communauté Terre Solide et Astronomie Astrophysique. Le pôle s’est spécialisé dans le développement et le déploiement de systèmes d’acquisitions et de traitement de données de géophysique marine et de géodésie spatiale. Les systèmes de mesures du pôle sont déployés du fond des océans jusqu’à l’orbite terrestre, afin d’observer la terre de son atmosphère jusqu’à ses profondeurs. Les mesures sont utilisées pour les recherches en géophysique (tomographie, géodésie, sismologie, etc.) et ont aussi vocation à être utilisées dans des domaines plus variés comme la météorologie ou la biologie.

Pôle Données, Calculs et Méthodes

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Responsables du Pôle : Lucie ROLLAND et Jenny TREVISAN

Les données en géosciences sont issues soit de mesures directes (observations), soit de calculs dérivés (modélisations et traitements). Elles ont pour particularités d’être thématiquement variées, géo-localisées et multi-échelles. Si les données issues de réseaux d’instruments d’observation géophysiques, gérées au sein d’infrastructures de recherche nationales et internationales, sont prises en charge par le Service d’Observations de Géoazur, ce n’est pas le cas des données non instrumentales (par exemple géologiques), ni des données issues de modélisations numériques ou de traitements (données dérivées). Ces dernières restent largement sous utilisées par manque de visibilité. Leur exploitation scientifique, leur enrichissement et leur valorisation sont pourtant au cœur de l’activité des équipes de recherche, d’où la volonté de Géoazur de les voir officiellement apparaître dans les ressources communes par l’intermédiaire de ce nouveau pôle 2024.